Parution du guide d’Archimag sur les bibliothèques à l’heure du web 2.0
Archimag a eu la bonne idée de réaliser un guide sur le thème du web 2.0 et des bibliothèques. Je tiens tout particulièrement à vous recommander ce guide, non pas seulement parce que j’y ai écrit un article, que je vous livre, avec l’aimable accord d’Archimag en texte intégral, mais aussi parce que le guide fait bien le tour de la question notamment grâce à quelques représentants de la biblioblogosphères. Pour avoir une idée du contenu de l’ensemble du guide, vous pouvez accéder aussi au sommaire en pdf et à des extraits d’articles.
Voici la présentation officielle du guide par Archimag :
Dire que les bibliothèques sont obsolètes et vont être remplacées par des bibliothèques numériques, voire 2.0, est un mythe. La bibliothèque en devenir est à la fois lieu physique et espace virtuel. Ses missions traversent le temps : rassembler, organiser et diffuser le savoir, le patrimoine et la culture. Simplement le numérique oblige à les revisiter et les technologies 2.0 ouvrent la perspective de nouveaux services. Avec un mot d’ordre : l’accès sur place ou en ligne doit être facilité. Ce qui est sûr : depuis internet et davantage encore avec l’arrivée des outils sociaux, on ne peut plus concevoir une bibliothèque aujourd’hui comme on le faisait hier. Mais comment évoluent les lecteurs, leurs demandes et les bibliothécaires ? C’est pour vous aider dans ce contexte qu’Archimag vient de publier le guide pratique « La bibliothèque à l’heure du web 2.0 ». L’angle retenu : l’accès, le service et l’utilisation des technologies. Ces interrogations touchent la bibliothèque dans ses deux dimensions.
Mon article n’apprendra pas grand chose à ceux qui suivent ce blog régulièrement mais se veut une courte synthèse et quelques pistes concrètes.
Ouvrir un portail de bibliothèque : avec quels contenus et quels e-services ?
Depuis les années 1990, les bibliothèques ont progressivement compris que mettre en place des politiques documentaires c’est passer de l’implicite à l’explicite. En formalisant les choix et les procédures, de nombreuses équipes ont tenté de trouver des réponses opérationnelles aux questions essentielles sur notre rôle : Pourquoi ? Pour qui ? Dans ce contexte, l’émergence du web 2.0 est une vraie chance de renouveler, le plus souvent de manière ludique, ce qui fait l’intérêt de notre métier. Car la question est moins de savoir si les bibliothèques sont concurrencées par le Web que celle de savoir comment positionner leurs ressources là où les usagers sont. La bibliothèque de Saint-Herblain, dont le portail est exemplaire, peut donner d’emblée une ligne directrice : ce site a été pensé dès le départ comme une annexe supplémentaire du réseau de lecture publique de la ville. Bien plus qu’une vitrine de l’espace physique, il devient un donc un centre de contenus et de services.
Quels contenus ?
De nombreuses possibilités existent à partir du moment où il est possible de créer et de gérer des pages Html. Notons à cet égard qu’il peut être bien plus avantageux de créer un portail à partir d’un système de gestion de contenu open source éprouvé (quitte à être assisté par un prestataire de service), plutôt que d’utiliser une solution la solution propriétaire de son prestataire de SIGB. Voici un panorama de contenus qui peuvent être proposés :
- Avis de bibliothécaires et d’usagers : les conseils que nous fournissions à la banque de prêt ou dans les espaces ont vocation à être insérés et diffusés dans le site de la bibliothèque. En effet, à l’ère de la recommandation et du conseil, il semble essentiel de capitaliser, coordonner et diffuser ce qui fait notre valeur ajoutée. Pour les bibliothèques publiques, il existe une tradition de « coups de cœurs» dont il faut sûrement repenser la présence exclusive, tant il est vrai que les critiques positives ou négatives peuvent devenir une manière d’animer ou de participer à des communautés locales ou thématiques, notamment grâce aux fonctions de commentaires intégrées aux portails.
- Parcours de lecture thématiques : Au delà des langages documentaires types Rameau, l’indexation libre par mots-clés (i.e. des tags) permet de susciter des parcours de découvertes dans nos ressources, ils peuvent être crée aussi bien par les bibliothécaires que par les usagers.
- Recherche plein texte : Google comme Amazon ont des programmes ambitieux de numérisation des livres. Il est possible via des web services de lier les données d’un catalogue aux données d’Amazon ou de Google permettant d’accéder à des fonctions de recherche en plein texte.
- Eléments audiovisuels : S’il était compliqué d’enregistrer des vidéos ou des documents audio, la démocratisation à la fois des moyens de captation, d’hébergement et de diffusion permet aujourd’hui de diffuser les traces audiovisuelles de ces contenus, via des plateformes comme YouTube ou Dailymotion.
- Cartes thématiques. Le service de cartographie de google permet la création de cartes thématiques. Elles peuvent représenter une manière originale et ludique de localiser nos ressources. Par exemples, la librairie en ligne Bibliosurf, a réalisé une carte des polars.
Quels Services?
Outre les services désormais traditionnels (compte personnel, recherche avancée, panier de notices, etc.) La question des services proposés par un portail peut s’envisager comme un ensemble de moyens de diffusion et de valorisation des contenus proposés par les bibliothèques.
- Outil d’accès : Barres d’outils, RSS, Widgets Les barres d’outils permettent un accès directement depuis le navigateur à des services de la bibliothèque comme la recherche ou le renouvellement des emprunts. De même, de nombreuses bibliothèques proposent des fils RSS sur les nouveautés ou les critiques des bibliothécaires auxquels il est possible d’associer des widgets qui peuvent s’insérer dans des sites partenaires.
- Réseaux sociaux : Le bouche à oreille numérique et les réseaux-sociaux sont désormais incontournables. Les bibliothèques peuvent participer, par exemple en diffusant leurs nouveautés sur Librarything, réseau social dédié aux livres.
- E-carte de bibliothèque : Le réseau américain Contra Costa County Library propose un service original : la e-carte. Il s’agit d’un certificat de sécurité virtuel qui est valable 3 ans sur inscription. Il permet l’accès à des ressources en ligne payantes financées par la bibliothèque. L’idée est de faire en sorte qu’une partie des “e-usagers” deviennent des “full-access usagers” et puissent à terme obtenir une carte de prêt des documents physiques de la bibliothèque…ce service à le mérite de prendre en compte un service à destination des usagers numériques qui rentreront peut-être jamais dans la bibliothèque…
Il existe bien sûr d’autre possibilités de services en ligne. De manière générale, il faut rappeler la nécessité de rendre attractifs nos portails, de les enrichir en contenus et d’en favoriser l’accès. En terme d’évaluation, de nombreux outils gratuits existent et doivent permettre une amélioration progressive de l’ergonomie des sites proposés. Pour conclure, on pourrait ajouter qu’un seul mot peut résumer à lui seul l’esprit qui doit guider la démarche : Expérimenter!
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