Les femmes qui lisent sont dangereuses
Ce n’est pas moi qui le dit, c’est le titre d’un livre (merci Amélie 😉 !) :
Bon je l’ai pas lu ce livre, mais le titre résonne tellement avec la Cage aux Bibliothécaires, qui est mixte, je le répète (merci Arnaud) que je peux m’empêcher de vous renvoyer vers cette chronique dudit livre :
Les femmes qui lisent sont dangereuses rassemble les illustrations les plus marquantes de cette relation entre la femme et le livre. Chaque reproduction, en grand format et d’excellente qualité, est accompagnée d’un texte explicatif agréable (comprendre : pas barbant) situant le peintre dans l’histoire de l’art et soulignant des détails du tableau qui auraient pu échapper à un oeil profane. (On se demande parfois si la surinterprétation ne transpire pas un peu, mais soit…)
Pour l’occasion, j’ai mis à jour la Cage aux bibliothécaires (à partir de la page 16 pour ceux qui connaissent déjà les photos) avec une bonne trentaine de nouvelles images issues entre autres de Liberos ce précieux blog espagnol (merci Nicolas!), avec notamment ce magnifique cliché signé Eve Arnold, qui représente Marilyn lisant Joyce… enjoy and read !